J’espère que vous me lirez jusqu’à la fin, même si certains de mes propos peuvent vous paraître déplacés ou sortis de leur contexte, voire même offensants. Je m’en excuse à l’avance mais je tenais à cette mise au point.

En arabe et en français, elle chante la liberté. Au rythme de son Algérie natale tout comme au son des cuillères néo-trad de ses nouveaux amis québécois. Les rêves de Lynda Thalie ont trouvé un pays.

Montréal devient, au rythme de l’élargissement de la communauté au Canada, une destination incontournable pour les artistes algériens. Paris et Marseille seraient passés d’époque. Samedi dernier au théâtre Plaza, une ancienne salle de cinéma construite en 1922 et reconvertie en belle salle de spectacles, la Fraternité algéro-canadienne (FAC) a organisé une soirée de variétés pour les Algériens de Montréal.

BRANLE-BAS de combat chez certaines compagnies aériennes opérant en Algérie, à l’image d’Air France, de Royal Air Maroc, de Lufthansa, d’Alitalia, de British Airways et bientôt d’Iberia, qui ont fait des vols long-courriers une stratégie marketing pour augmenter leurs recettes.

En résidence surveillée depuis six mois après avoir purgé quatre années de détention, l’Algérien Mohamed Harkat pourrait voir le bout de tunnel suite à une décision de la cour fédérale canadienne ordonnant la révision du certificat de sécurité, le document des services de sécurité qui le place sous le coup d’une expulsion vers l’Algérie.

A 3.675 kilomètres de Montréal, plus de 300 familles algériennes installées à Calgary vivent une aventure unique fel-ghorba, où, malgré l’isolement, elles résistent aux affres de l’émigration lointaine.

Nous, immigrants, désirons grandement contribuer au développement du Québec, à sa croissance démographique, sa prospérité économique et sa diversité socioculturelle.