Du bénévolat pour se trouver du travail?
Lorsqu’on a envoyé des centaines de CV, mais obtenu aucune entrevue d’embauche, le bénévolat peut être une solution. Plutôt que de rester assis dans son salon, le bénévolat permet d’acquérir de nouvelles expériences, de garnir son CV et de montrer que l’on est déterminé.
Que faut-il écrire ou ne pas écrire dans une lettre de présentation? Synthèse des formules incontournables
La situation précaire du marché du travail en 2009 a touché plus durement les immigrants que les Canadiens de naissance au Québec, même si les immigrants québécois ont été moins affectés que ceux de l'Ontario ou de l'ensemble du Canada.
Les médecins diplômés hors du Canada et des États-Unis font bel et bien l'objet d'un traitement discriminatoire au Québec sur la base de leur origine, a statué la Commission des droits de la personne.
Souvent désorientés et dépourvus de réseau, les nouveaux arrivants à la recherche d’un emploi s’y prennent mal. Ils disposent aujourd’hui de meilleurs outils pour réussir à se trouver du travail. «Souvent, ce sont des gens qui cherchent des défis et qui n’ont pas peur de l’aventure.
Les recruteurs font encore grise mine devant les piles de CV, 4 à 10% de recrutements de cadres en moins selon l’APEC en 2010. Les candidats cherchent plus que jamais les formules qui font mouche.
Encourager l’intégration de personnes immigrantes au sein des entreprises. Tel est l’objectif d’Alliés Montréal. Avec cette nouvelle initiative lancée hier, la Conférence régionale des élus de Montréal (CRÉ) poursuit son plan d’action régional en matière d’immigration, d’intégration et de relations culturelles débuté le 9 mars.
Lorsqu’on entre chez Anne Veillette, dans le quartier Hochelaga-Maisonneuve, une bibliothèque remplie de livres d’enfants attire le regard près de l’entrée. Une petite maison de blocs Lego s’élève au beau milieu du corridor. Il est 10 h, et neuf enfants sont assis dans la cuisine, terminant de manger une pomme et de boire un verre de lait.
Selon un sondage mené en 2008 par Ipsos Reid-RBC, un Canadien sur trois deviendrait fonctionnaire s’il pouvait changer d’emploi. Voici les étapes à suivre pour faire le saut: