Ils étaient une quarantaine de personnes à rejoindre, ce samedi 22 décembre 2007, le Kemia Jazz Bar à Montréal, pour rendre hommage à Redouane Osmane décédé une semaine auparavant. Dès 13 heures et jusqu’à 18 heures, se sont succédés sur l’estrade de cet endroit intimiste de nombreuses prises de paroles avec pour fond une affiche réalisée par Khelifa Hareb représentant Redouane le poing levé puis un panneau cartonné conçu par l’artiste Rachid Hafed montrant Redouane au mégaphone.

Désormais, les abonnés de la téléphonie mobile en Algérie devront composer, à partir du 22 février 2008 (à 1h du matin), 10 chiffres pour passer leurs communications téléphoniques sur l’ensemble des réseaux et de tous les opérateurs. C’est ce qu’a annoncé, hier, le président de l’ARPT, Mohamed Belfodhil, lors d’une conférence de presse.

Du jamais vu dans une soirée animée par des artistes algériens à Montréal, du sabotage à travers un acte criminel selon un des agents chargés de la sécurité du restaurant Ryad où se produisaient pour la première fois Cheikh Abdou et cheb Reda. Deux artistes venus spécialement d’Algérie pour donner deux spectacles à Montréal.

Qui dit adoption dit enfant abandonné. L’abandon a de tout temps existé, nos mythes fondateurs participent de personnages solitaires ; cela n’a pas empêché l’humanité — en l’absence de maîtrise de la procréation — de s’accommoder du sort réservé aux enfants malvenus, handicapés, fruits d’inceste, de viol ou d’adultère.

Le week-end dernier, j'ai eu la chance d'assister à une soirée algérienne. L'occasion était la remise des prix de la «Fondation Club Avenir» -- fondée par Tayeb Hafsi, professeur aux HEC de Montréal -, et qui «favorise l'intégration par l'excellence et l'entrepreneurship.» Quel beau programme en effet!

Gérard Bouchard et Charles Taylor doivent mettre fin immédiatement à leur périple québécois et sonner la fin de la récréation. Depuis des semaines, ils parcourent le Québec pour montrer à la face du monde que le Québec est une société pleine de contradictions, une société certes en mutation, mais incapable, de son premier ministre à son premier parti d'opposition, de montrer la moindre compassion pour ceux et celles qui ont choisi de venir vivre chez nous.