Un cadre au ministère de la Sécurité publique du Québec et le vice-président d'EBR, une firme informatique de Québec, ont été arrêtés par des agents de l'Unité permanente anticorruption (UPAC) vendredi matin. Ils sont soupçonnés d'avoir mis en place un stratagème frauduleux facilitant l'octroi d'un contrat informatique.

80 000 € : c'est la somme que devra payer l'Etat algérien à deux agents consulaires, après sa condamnation par la justice prud'hommale. Les juges ont reproché à la république algérienne l'irrespect de dispositions du code du travail. La république algérienne n'a pas pu se prévaloir dans cette affaire de l'immunité de juridiction.