Les Montréalais d’origine amazighe ont été agréablement surpris par un inattendu « Asseggas Amegaz » du maire de leur ville, une première dans l’histoire de la métropole. A l’occasion de la célébration de Yennayer de l’année 2960 du calendrier berbère, une pleine page du quotidien gratuit 24 Heures a été consacrée à sa célébration. Khelifa Hareb, membre du Mouvement amazigh du Québec (MAQ) et initiateur de cette démarche en parle.

2010 sera-t-elle une nouvelle chance pour le changement démocratique ?

Quel mal a frappé l’opposition démocratique algérienne pour rester en l’état près de 60 ans d’indépendance ? Autrement dit, pourquoi a-t-elle toujours été foulée aux pieds par les différents gouvernements et boudée par les populations au point qu’elle est devenue un élément négligeable dans les annales de la politique algérienne ? Une sorte de coquille vide qu’on exhibe pour anesthésier l’opinion et permettre la pérennité du pouvoir qu’elle est censée contrôler, voire sanctionner. Qui du peuple ou des leaders de cette opposition sont imputables de ses échecs successifs ? Qui du peuple ou des leaders peuvent être blâmés pour immaturité politique ? On a vite envie de disculper le peuple, sachant que de nombreux pays doivent leur émancipation à un leader politique avec une vision claire et un engagement communicatif.

La bataille du sponsoring sportif se poursuit entre Nedjma et Djezzy. La Jeunesse sportive de Kabylie (JSK) et Nedjma ont conclu, mardi 2 février, un accord de sponsoring, a annoncé l’opérateur de téléphonie mobile. Le club kabyle était sponsorisé par Djezzy, opérateur mobile concurrent de Nedjma.

Outrée par les scandales de corruption au plus haut sommet de l'Etat, l'opinion publique, telle qu'elle s'exprime dans la presse et dans les commentaires privés, est remontée contre les partis politiques perçus comme des organisations inutiles pour le pays, ou plutôt utiles seulement pour ceux qui les utilisent pour avoir des positions lucratives d'élus.

Des affrontements ont éclaté hier, tôt dans la matinée, entre les forces de l’ordre et les jeunes vendeurs qui occupaient le boulevard Lamali. Sommés de quitter les lieux squattés durant des années sur les trottoirs, les contestataires ont refusé de se soumettre.

Salah Fateh, un Boufarikois de 36 ans, a pris le départ jeudi dernier à 10 h pour une longue marche qui le mènera en Afrique du Sud, après une réception qui a été organisée pour la circonstance par l’APC de Boufarik.