Gala des Prix 2009: Club Avenir honore l'excellence de la communauté algérienne au Canada
M. Abderrahmane Dermoune, auteur dùne dizaine de brevets technologiques obtient la « Palmed’Or Club Avenir 2009 », M. Omar Adlani reçoit le « Grand Prix Jeune Potentiel Club Avenir 2009 » pour ses réalisations exceptionnelles.
															
  
Il n’y a rien de plus difficile pour tout Algérien, par les temps qui courent, que d’être fier, tant ce sentiment est bringuebalé par le flot quotidien de mauvaises nouvelles charriées par les médias de tout acabit : nous sommes moins performants que nos voisins alors que nous disposons de plus d’atouts qu’eux, nous fabriquons des harragas alors que notre sous-sol regorge de combustibles fossiles, les rues de nos quartiers sont de réels sentiers de brousse alors que le goudron est un sous-produit du pétrole, l’eau déserte nos robinets alors que la pluie céleste dévaste des territoires entiers, nos anciens immeubles s’écroulent un à un (sur leurs occupants) alors que les tours de bétons phagocytent toutes les terres agricoles qui ceinturent nos villes…
Qui a conçu et réalisé le premier drapeau national algérien lequel a été déployé pour la première fois dans une manifestation populaire ? Pour répondre à cette question, il faut remonter à 1937.
Abdelkader Belaouni est libre. Jeudi dernier, le ressortissant algérien a reçu d'Ottawa la permission de rester au pays. Reclus depuis trois ans et neuf mois dans l'église Saint-Gabriel, à Montréal, il est sorti pour l'une des premières fois ce matin.
Hafsa Rizki a débarqué à Montréal en 2006 avec son mari et ses deux enfants, sans parent ni ami pour l’aider à s’orienter dans la métropole. Pendant les cinq mois qui ont suivi son arrivée, elle s’est enfermée chez elle. 
L’attaque terroriste de Tizi Ouzou qui a ciblé jeudi une société chargée de sécuriser un chantier de SNC Lavalin et qui a causé la mort de six personnes, est le plus grave attentat à survenir en Algérie depuis la fin du mois de juillet.
Aucune région du pays n’échappe à la déferlante. A Alger, Oran, Tizi Ouzou, Ouargla, Annaba, Tamanrasset… la « culture de l’émeute » s’enracine, prospère à l’ombre de l’hypothétique « Etat de droit ». La violence dans tous ses états, sous toutes ses formes. Violences interquartiers à Bab El Oued, affrontements intercommunautaires à Illizi, Berriane, conflits tribaux à Djelfa, Laghouat, Béjaïa...
Les Maghrébins sont plus nombreux que jamais à Montréal. Entre 2001 et 2006, Algériens, Marocains et Tunisiens ont représenté plus de 18 % des nouveaux immigrants. Avec eux, un riche héritage social, gastronomique et linguistique.
Chômage, pauvreté, manque de planification de l’environnement urbain. Ces clichés collent à Saint-Michel, l’un des quartiers les plus défavorisés de Montréal selon Statistique Canada. Toutefois, depuis deux ans, la communauté maghrébine du district de François-Perrault essaye de transformer positivement le visage du secteur.
Etudiants, hommes d’affaires et touristes n’auront plus à renouveler leurs visas chaque trimestre.
(Québec) Quand ils arrivent au Québec, les immigrants se tournent massivement vers l'aide sociale dans leur première année ici. Mais ils en sortent plus rapidement que l'ensemble des Québécois, démontre une étude confidentielle du ministère de l'Immigration et des Communautés culturelles.