Le gouvernement algérien a invité une délégation d'experts et d'artistes algériens du Canada pour venir célébrer en Algérie, les journées de l'immigration- 17-19 octobre 2016.

La terreur a encore frappé. Après la série d'attentats qui ont secoué Kaboul, l'Allemagne et le Japon la semaine passée, voilà qu'une prise d'otages dans une église en France finit par le meurtre d'un prêtre.

L’État algérien doit rester debout. À défaut, c’est le chaos qui attend l’Algérie et avec elle, les Afrique du Nord et du Sahel deviendront un terrain ouvert aux prédateurs économiques, mercenaires, armées privées et mafias transnationales qui écraseront leurs démographies [1] d’abord, leurs natures ensuite.

C’est la théorie du choc dans l’une de ses formes les plus sadiques qui est appliquée à l’Algérie pour l’envoyer définitivement dans l’enfer de l’ultralibéralisme, lequel enfer est agréé et exécuté par le trio : conseiller-directeur de cabinet à la présidence de la République, ministre des Finances et gouverneur de la Banque d’Algérie.

Après qu’une nouvelle constitution ait été adoptée par un Congrès qui n’a jamais révélé qui sont ses rédacteurs s’il les connait, à laquelle a été greffée un pédoncule linguistique pour en faire une échappatoire au cas où la pilule de l’ultralibéralisme ne passerait pas parce que c’est un ordre qu’il faut exécuter sinon la broyeuse des fortunes dans les paradis fiscaux ou politico-fiscaux comme la France se mettrait en marche, et elle l’est, les Algériens sont mis à une logorrhée de concepts et de mots politiques et économiques qui relèvent de la sémantique du diable.

L'Algérie a perdu un de ses meilleurs fils; un grand militant des causes justes. C'est aussi un homme de principe et un symbole des libertés démocratiques. Son juste combat, depuis son jeune âge, jusqu'à sa mort, lui a mérité le respect du monde entier.

Expatriés, préparez vos jarres pour les remplir de peine – son enfant a été échangé contre un chien – et de joie, la mère de l’enfant, même un peu têtue, est plus qu’adorable. C’est une fée.

Expatriés, préparez vos jarres pour les remplir de peine – son enfant a été échangé contre un chien – et de joie, la mère de l’enfant, même un peu têtue, est plus qu’adorable. C’est une fée.