L'Algérie a perdu un de ses meilleurs fils; un grand militant des causes justes. C'est aussi un homme de principe et un symbole des libertés démocratiques. Son juste combat, depuis son jeune âge, jusqu'à sa mort, lui a mérité le respect du monde entier.

Ses idées, ses visions, son projet de société, qui seront, à partir de maintenant, ceux de la jeunesse algérienne, feront sans nul doute, progresser notre pays, pour l'imposer rapidement dans les cours des grandes nations.

Les décisions délibérées et l'acharnement du régime, depuis 1962, à écarter ou à exclure les hommes de valeur, de tout ce qui conditionne l'avenir du pays, ont plongé l'Algérie dans un chaos indescriptible. C'est aussi l'une des raisons, pour laquelle Da Al Hocine a refusé de cautionner de telles démarches et les lois qui les régissent.

Si, le fait de dire non, à ceux qui nous divisent et nous écartent, est considéré par ce régime, comme hors la loi, alors nous sommes tous des hors la loi.

Hsén Moussi

30/12/2015