Totalement inondée, la vallée du M’zab, à Ghardaïa, n’est aujourd’hui que ruines et désolation. Vingt minutes seulement ont suffi aux pluies diluviennes de mercredi dernier, premier jour de la fête de l’Aïd, pour transformer toute la palmeraie étalée sur huit communes (Ghardaïa, Bounoura, El Atteuf, Daia, Guerrara, Berriane, Sebseb et Metlili) en une ville flottant sur une eau boueuse. Tout s’est passé tellement vite que personne n’a pu réaliser l’étendue et l’importance des dégâts occasionnés. Des maisons effondrées sur leurs habitants, des dizaines de véhicules emportés par la violence des eaux avant d’être engloutis par la boue entassés l’un sur l’autre sur une hauteur d’au moins trois mètres, des arbres arrachés, des poteaux électriques ensevelis, des cadavres de moutons, de chèvres et de baudets flottant et des montagnes de boue obstruant la quasi-totalité des ruelles.

Hasard du découpage administratif ou signe du destin : la circonscription électorale de Farid Salem commence au coin de la rue Jean Talon et de la 20e avenue où se trouve le café 5 Juillet ! C’est en plein quartier maghrébin de Montréal, Le Petit Maghreb, que nous avons rencontré Farid Salem un jour de ce mois de Ramadhan, juste avant le ftour (rupture du jeûne).

Le 21 septembre, au soir, de nombreuses personnes étaient conviées à partager la rupture du jeune de Ramadhan dans une ambiance fraternelle et conviviale. C’était une occasion pour la communauté maghrébine au Canada de montrer les élans de solidarité qui priment lors de ce mois sacré.

Pour bien des familles, la cueillette annuelle des pommes est un rituel sacré. On enfile nos vieux jeans, on saute dans la voiture et hop! On s'évade vers les Basses-Laurentides ou la Montérégie.

Le député algérien n’a de compte à rendre à personne, ni à son parti, ni à l’Assemblée populaire nationale, ni aux électeurs. Il peut s’absenter autant de fois qu’il le veut. Un député peut, s’il le désire, rester muet durant toute la période de son mandat. Et cela sans prendre le risque d’être inquiété. Certains parlementaires n’ont pas mis le pied à l’APN depuis les élections du 5 mai dernier.

Les passagers de l’Airbus A 330, à destination de Montréal, du mardi 9 septembre et qui devait décoller à 14h45, n’oublieront certainement pas de sitôt la mésaventure qu’ils ont vécue à l’aéroport international Houari-Boumediene. Selon le témoignage d’un passager, qui a joint au téléphone la rédaction, les voyageurs, après avoir pris place dans l’avion, ont été priés de quitter l’appareil après deux heures d’attente.

Voilà une campagne électorale qui vient d’être déclenchée par un gouvernement conservateur minoritaire décidé à conquérir un nouvel électorat mais surtout, convaincu que l’heure est superbement propice pour convaincre les électeurs qu’ils ont tout à gagner en leur offrant de nouveaux suffrages, surtout au Québec, où ils sont au coude à coude avec le Bloc Québécois, afin d’obtenir une majorité qui les a fuis lors de l’élection précédente à l’issue de laquelle ils n’en sont sorti que minoritaires.

Le 07 septembre 2008, le Centre Culturel Algérien a convié celles et ceux qui voulaient partager des moments de solidarité et de piété. Un Ftour a été offert à des personnes venues nombreuses; celles-ci ont pu apprécié les plats préparés par des familles et servis par le personnel bénévole du CCA avec un esprit de convivialité et altruisme.