Avec la signature d'un contrat d'un montant de 800 millions de dollars, la firme canadienne SNC-Lavallin, qui a pignon sur rue dans le domaine de l'ingénierie, vient de se tailler la part du lion dans le marché algérien. Même si rien n'a encore filtré sur le contenu du contrat, une source bien placée nous a indiqué qu'il s'agirait très probablement d'un contrat pour l'installation d'aqueducs dans le sud du pays.

Dans une lettre adressée au président du Centre culturel algérien (CCA) à Montréal, concernant le vol Alger-Montréal, datée du 14 février 2003 et envoyée par le directeur général de l’aviation civile du transport canadien, il est stipulé qu’«il était trop tôt pour établir des liens aériens directs entre le Canada et l’Algérie. Aujourd’hui, notre position n’a pas changé.»

Dans ce monde du banditisme et de la contrefaçon, le faussaire côtoie l’escroc, l'escroc le fraudeur et le fraudeur le terroriste. Jamais, dit-on, les interpellations n’ont été aussi significatives que celles concernant des personnes appartenant à la communauté algérienne. Bref, un constat blessant et humiliant

Dans ce monde du banditisme et de la contrefaçon, le faussaire côtoie l’escroc, l'escroc le fraudeur et le fraudeur le terroriste. Jamais, dit-on, les interpellations n’ont été aussi significatives que celles concernant des personnes appartenant à la communauté algérienne. Bref, un constat blessant et humiliant

S’amuser à comprendre les méthodes de sélection suivies lors des choix des participants à l’année de l’Algérie en France risquerait sans nul doute de déplaire aux tenants de la transaction de l’arrière-boutique...

Le rôle de l'intellectuel, en contrepartie du privilège d'être payé pour lire, penser, essayer de comprendre, réfléchir et écrire, est de crier ce qui ne va pas, non de glorifier ce qui va