Le Québécois d’origine algérienne Karim Saada, a raflé le prix de l’album de musique du monde de l’année, catégorie solo, pour son disque La danse de l’exilé, samedi soir, lors de la cinquième édition des Prix de musique folk canadienne présentés à Ottawa.

Des propos de Cheb Khaled, le roi du Raï algérien, sont exploités pour relancer la guerre des mots entre l’Algérie et le Maroc. Khaled avait participé, il y a trois mois, à l’édition 2009 du Festival Gnaoua et Musiques du Monde d’Essaouira.

Lynda Thalie est en nomination au 31e Gala de l'ADISQ dans la catégorie ALBUM MUSIQUE DU MONDE DE L'ANNÉE. Il s'agit d'une sixième nomination à l'ADISQ en carrière pour Lynda Thalie.

Pendant longtemps, sous son voile, Samia a tremblé de peur, comme des millions de femmes dans sa situation à travers le monde. Jusqu'à ce qu'elle prenne une décision qui a changé sa vie. Fuir l'Algérie, contre vents et marées, contre traditions et soumission. Se sauver, elle et ses cinq enfants, dont ses deux filles, qui auraient à subir sûrement le même sort, si elles restaient sous l'emprise de leur famille.

Photo El WatanPour une fois que la télévision algérienne a programmé un feuilleton ramadhanesque sur les vie des Algériens ailleurs et pas forcément en France, on s’attendait à quelque chose de nouveau, de pas commun, bref autre chose que du déjà-vu. Bin El Barah Ouael Youm (entre hier et aujourd’hui) de Brahim Ameur veut plutôt retracer la vie au quotidien de nos « frères » au pays de l’Erable. Le quotidien des Algériens, dont l’émigration dans ce pays nord-américain est des plus récentes ; elle s’est particulièrement accélérée dans les années 1990 pour atteindre le chiffre d’au moins 45 000 individus.

Photo - Le Quotidien, Sylvain Dufour(CHICOUTIMI) Ce fut la soirée de tous les envoûtements, hier, au centre-ville de Chicoutimi. Quatre ans, jour pour jour, après sa dernière présence au Festival international des Rythmes du Monde, Lynda Thalie a repris possession de la rue Racine comme si de rien n'était.

Photo : La Tribune (Y.B) La baraka de Khaled a vraiment été utile pour faire lever cette 21ème édition des Francofolies de Montréal qui peinait à trouver sa vitesse de croisière alors que nous étions déjà à la troisième journée de cette manifestation! En effet, la météo très capricieuse et même parfois menaçante et ravageuse laissait planer le doute jusqu’à la dernière minute sur ce concert public gratuit  que les montréalais attendaient impatiemment.  Il faut dire que Khaled, malgré ses passages en salle réussis par le passé, n’était pas aussi populaire que Rachid Taha ne l’était auprès du public québécois qui s’affole devant l’interprète de Ya Rayah

Photo: Bernard Brault, La PresseIl a plu des cordes, des cordes, des cordes, et... le ciel dominical s'est dégagé. Quelques minutes à peine avant que LE chanteur de raï ne monte sur la scène d'une place des Festivals bondée contre toute attente, au bout d'une journée entière de douche intense, les FrancoFolies ont été miraculées. Le grand spectacle gratuit était bel et bien sauvé des eaux.

Le 18 juillet dernier, Idir a partagé la scène du prestigieux Avery Fisher Hall du Lincoln Center avec Najaat Aatabou pour une « nuit au Maghreb » au cœur de Manhattan (New York City). Le Avery Fisher Hall a accueilli, au fil des années, les plus grands artistes américains et internationaux comme Ella Fitzgerald, Aretha Franklin, Elvis Costello, Youssou N’dour, Andrea Bocelli.

Rachid BadouriLa «badourimanie» a commencé à faire des ravages il y a à peine deux ans. À cette époque, Rachid Badouri présentait Arrête ton cinéma!, un premier one man show qui allait faire de lui l’une des stars les plus en vue du showbiz québécois. Depuis ce temps, les jeunes l’adorent et les plus vieux sont sous son charme.