En novembre 2011, dans le Quotidien d’Oran nous avons écrit : «Le canada et le Québec en particulier, ont tout à perdre en réveillant les démons du racisme et du communautarisme et tout à gagner en favorisant le respect de la dignité humaine, en accueillant plus de souffrants et d'opprimés et en ignorant tous ces néologismes […] non sensés tels que multi ou inter-culturalisme, choc des civilisations. Une révision des conditions d'accueil pour une meilleure dilution des immigrés est nécessaire.» .

Sujet sensible, tabou, délicat, déplaisant… mais qui existe. Dans certains couples, c’est l’enfer côté sexualité. Et ils ne peuvent pas en parler à leur entourage, parfois même pas entre eux tellement le sujet n’est pas facile à aborder. Surtout dans une société où on ne remet surtout pas en question la virilité de l’homme !

Après l’indicible feuilleton d’Alilou le matelot, je me suis employé à vous reconstituer le décor et les fastes dans lesquels un factotum aurait commis le hold-up par surfacturation de 50  dollars sur des visas qui a empêché les USA d’investir en Algérie.

Dans la précédente intervention, je vous narrais l’emprisonnement à Annaba  d’Ali Khadraoui, un factotum de l’ambassade d’Algérie à Washington, pour…avoir empêché les USA d’investir dans notre beau pays. Voici la suite.

En juillet 2013, la police du général Hamel qui avait laissé le grand architecte de la corruption «énergétique» Chakib Khelil quitter le territoire national à partir de l'aéroport d'Oran, compense sa perte à l'aéroport Houari Boumedienne d'Alger en procédant à l’interception d'un certain Khadraoui Ali, natif d’Annaba. Transféré au tribunal de cette ville, il fut condamné à deux ans de prison pour une prétendue affaire de corruption qui se serait passée à 7000km d’Annaba, au siège de l'ambassade d'Algérie à Washington.

Comment les québécois musulmans composent-ils, au pays des arpents de neige, avec la charia, qui veut qu’à leur mort leur corps soit enterré très vite, le plus sobrement possible, sans consommer de bois ? Ils s’adaptent, a constaté notre reporter.

Elle ne fait jamais une seule chose à la fois et ne recule devant rien. Son CV est remarquable, son parcours inspirant. Au Québec, Souad Benali s’est forgé une place honorable à force de travail acharné.

Montréal, 15 décembre 2013 --- Dès le mardi prochain, le Tribunal des droits de la personne du Québec entendra le cas de deux femmes arabo-musulmanes de Joliette qui poursuivent le grand magasin Sears pour discrimination raciale après avoir été l'objet de propos xénophobes provenant d'un gérant, d'expulsion violente de l'établissement et de traitement de mauvaise foi de leur plainte.