Dans cette interview, Omar Aktouf, professeur titulaire à HEC Montréal, auteur de plusieurs livres sur le management, porte un regard très optimiste sur la révolution en cours dans le pays. Il estime qu’il était temps que le peuple fasse sa révolution après avoir été spolié après celle qu’il avait faite contre la France coloniale. Il analyse également certaines questions d’actualité, dont les mesures comprises dans le projet de loi de finances pour 2020.

A dix mille kilomètres d’ici vit une communauté algérienne, celle de Montréal au Québec, en plus de celles qui ont choisi d’immigrer dans d’autres provinces du grand Canada. Et comme dans chaque groupe social de même origine, établi à l’étranger, les médias communautaires de cette région outre-Atlantique, ne manquent pas de s’illustrer, offrant ainsi aux citoyens de même culture, les nouvelles du bled, tout en les gardant bien informés sur l’actualité politique, économique, culturelle et sportive de l’Algérie.

Un Montréalais de 20 ans a connu une fin tragique vendredi dans un parc d’Hochelaga-Maisonneuve, à deux pas de chez lui, quand il a été tué par balle en prenat la défense d’un ami dans un conflit qui a dégénéré.

Le restaurateur sherbrookois Imed Lakdhara peine encore à croire que le gouvernement Legault est allé à l’encontre de la Charte des droits et libertés en adoptant la loi 21 sur la laïcité de l’État qui interdit entre autres le port de signes religieux aux personnes en position d’autorité dans la fonction publique.

La grande histoire qui s’écrit au quotidien en Algérie depuis la naissance de l’Hirak, ce mouvement populaire qui appelle à la modernisation du pays, bouleverse aussi les plus petites. De Rimouski à Alger, Mehdi Amir, 29 ans, voit désormais son destin se synchroniser avec celui de son pays natal. Premier texte d’une série de deux.

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