Déclaration de solidarité des Algériens du Canada avec leur peuple en lutte contre la dictature
Le peuple algérien vit dans des conditions désastreuses en dépit de la richesse de son pays qui lui est volée sous son nez depuis des décennies;
Le peuple algérien vit dans des conditions désastreuses en dépit de la richesse de son pays qui lui est volée sous son nez depuis des décennies;
Après les émeutes et les «solutions» du gouvernement, qui sort gagnant de ce bras de fer ? L'informel, selon plusieurs experts qui pointent la puissance de ses réseaux. «El Hadj», 56 ans, l'un des plus grands barons de l'informel algérien, se dévoile et met à nu un gigantesque engrenage mafieux. El Watan Week-end l'a rencontré. Il nous livre en brut ses explosives confessions.
Le président tunisien Zine El Abdine Ben Ali s'est engagé jeudi à quitter le pouvoir au terme de son mandat en 2014 et a ordonné la fin des tirs contre les manifestants, dans l'espoir d'apaiser un mouvement de contestation sans précédent.
La rue a explosé. Nouvelle jacquerie sans véritable perspective. Mais pas sans effets.
Place des Dauphins, Staouéli, 15h. Nous devons assurer la couverture d’un rassemblement prévu à 16h auquel avait appelé le comité intercommunal de Aïn Benian-Staouéli.
En proie à une révolte des plus violentes contre le chômage et les injustices sociales, la région de Sidi Bouzid, dans le centre-ouest tunisien, vient de déplorer son cinquième suicide depuis le 17 décembre dernier.
Depuis la Tunisie, Malek Khemiri rappelle d'un autre numéro, raccroche deux fois car, dans le taxiphone, des policiers le "regardent". Puis il demande à être rappelé et parle, "stressé", prêt à "affronter" le fait d'être cité dans cet article. Il se sent surveillé. Malek Khemiri n'est pas un opposant politique ni un syndicaliste. Il est rappeur. Dans ce pays qui connaît depuis la mi-décembre une contestation sociale inédite, les rappeurs apparaissent comme une cible du régime.
La révolte sans précédent que connaît la Tunisie depuis la mi-décembre contre le chômage et le régime policier instauré depuis près de 24 ans par le président Benali a dégénéré le week-end dernier en émeutes sanglantes, faisant quatorze morts à Thala et Kasserine selon le gouvernement, et au moins 23 selon l’opposition.
Après des années de marginalisation, les pouvoirs publics en Algérie cherchent à rétablir des passerelles entre les Algériens installés à l'étranger et leur pays d'origine. Dans ce sens, le secrétaire d'Etat auprès du ministre des Affaires étrangères, chargé de la Communauté nationale à l'étranger, Halim Benatallah a annoncé dimanche à Alger la mise en place d'une nouvelle stratégie gouvernementale.
Alger, samedi matin. Lendemain d’un week-end particulièrement houleux à la suite des émeutes qui ont ébranlé tout le pays, la capitale en premier. Retour sur les traces de pneus brûlés et des magasins défoncés, à Bab El Oued, Oued Ouchayeh, Bachjarah, El Harrach et autre Bordj El Kiffan, pour ne citer que ces quartiers. Pour prendre le pouls de la rue, voir où en est ce fulgurant souffle juvénile.
Faute de n’avoir pas pu anticiper les éléments de la crise, le ministre prône le retour à l’ancien système qui permettait aux grossistes d’opérer avec de faux registres du commerce.
Le procureur de la République près le tribunal de Sidi Aïssa (M'sila) a ordonné samedi 08 janvier l’ouverture d’une enquête préliminaire à la suite du décès vendredi soir d'un citoyen à Aïn Lahdjel, dans les actes de violence qui ont touché cette wilaya.
Les citoyens de haouch « Lofi » de la commune de Beni Tamou dans la wilaya de Blida ont organisé un mouvement de protestation à cause de la flambée des prix des différents produits alimentaires, notamment l’huile et le sucre. Et pour cause, les jeunes ont procédé à la fermeture de la route menant vers la commune de « Oued El Eulaig » en utilisant des barricades, des troncs d’arbres et des pierres.
Les émeutes qui ont éclaté dans plusieurs villes en Algérie ont fait paniquer les autorités publiques. Celles-ci tentent tant bien que mal de contenir cette nouvelle vague de protesta qui a déferlé sur Oran, Alger, Blida, Dejlfa, Ouargla et d’autres régions du pays, en multipliant les promesses.
Né de la révolte des jeunes diplômés chômeurs de Sidi Bouzid – une ville du centre-ouest tunisien, située à 265 km de Tunis et en proie à des manifestations depuis le 19 décembre –, le mouvement qui agite la Tunisie gagne peu à peu toutes les sphères de la société, et s'installe au cœur même de la capitale.