Grippe porcine : Un troisième cas au Maroc
Un troisième cas de grippe A(H1N1) a été enregistré samedi à Casablanca (100 km au sud de Rabat) sur une enfant de sept ans résidant à Montréal et arrivée le 12 juin au Maroc en provenance du Canada, a indiqué le ministère de la Santé dans un communiqué.
Un juge a rejeté une requête visant à faire tomber des accusations de terrorisme à l'endroit d'un Québécois d'origine marocaine qui prétendait avoir été privé de sa liberté d'expression.
Les discussions sont toujours en cours pour l’ouverture d’une ligne aérienne à destination de New York.
Le pays étant composé d’une majorité écrasante de jeunes, l’institution militaire ne peut les prendre en charge convenablement, avec tout ce que cela suppose comme dépenses, infrastructures et programmes de formation.
Un bras de fer semble être engagé entre la Presse, ce puissant quotidien francophone du Québec, et le maire de Montréal, Gérald Tremblay, qui préside depuis sept ans aux destinées de la grande métropole du Québec. Ce qui se déroule actuellement dans la deuxième ville en importance au Canada peut paraître surréaliste. Cependant, c’est bien au Canada que les faits se déroulent.
Il y a eu la vache et sa folie, le mouton et sa tremblante, le poulet et sa grippe, et, maintenant, le porc et son H1N1. Tous les animaux d'élevage y sont passés, ou presque. Il n'y a que le lapin qui doit s'estimer heureux dans son clapier, du moins jusqu'à maintenant.
En ce samedi aux couleurs du printemps, plusieures personnes ont répondu à l'appel lancé par les dirigeants du Centre Amazigh de Montréal pour une assemblée générale au Centre Afrika.
(Québec) La plupart des bénéficiaires de l'aide sociale refuseraient un emploi au salaire minimum à cause des avantages qu'ils perdraient, constate une vaste enquête menée par Emploi-Québec.
Des milliers de personnes verront leur statut changer, vendredi, lorsqu'un amendement à la Loi sur la citoyenneté entrera en vigueur, accordant de facto la citoyenneté canadienne aux immigrés de deuxième génération.
En avril, ne te découvre pas d’un fil. Au Canada, cette expression a trouvé sa véritable signification en ce début du mois, puisque, et sans que cela soit une surprise, commel’annonçait la météo, les Canadiens ont eu droit, non seulement à de la pluie continuelle durant les six jours qu’a duré le scrutin pour l’élection présidentielle, mais également à de la neige !
Ce titre d’un film français réalisé en 1988 pourrait très bien s’appliquer à la manière dont la campagne à l’élection présidentielle algérienne s’est déroulée au Canada.