La communauté algérienne a été invité à une rencontre avec Mme Pauline Marois, candidate à la chefferie du Parti Québecois par l'intermédiare de notre compatriote Farid Salem, membre très actif au sein du Parti Québecois et ce depuis plusieurs années.

Plus d'une vingtaine de personnes ont répondu à l'appel, de tout horizon, journaliste, informaticiens, agronome, médecin et bien d'autre. Après un discours de Mme Marois, expliquant son rôle, ce qu'elle a fait, ce qu'elle a soutenu et ce qu'elle projète faire si elle sera élue à la cheferie du PQ. Le point le plus important c'est l'indépendance du Québec et l'intégration de tout les québecoises et québecois dans ce nouveau pays.
A la fin, elle a invité la communauté à poser leurs questions. Ces dernières étaient très pertinantes.
Mr Bendada a posé un problème épineux concernant toute cette masse d'intelectuels algeriens triés sur le volet qui se retrouvent sur l'aide sociale. Comment toutes les portes ont été fermées, par les règles des corporations. "La conclusion est simple, dit-il, les corporations ont été créés par le gouvernement, donc, ils peuvent légiferer desuus".
D'autres problèmes ont été soulevés, et l'assistance a demandé à Mme Marois, que si elle est élue à la cheferie, et que le PQ prenne le pouvoir, y'aura-t-il un suivi de ces requêtes? C'est ce qu'elle a promis.
Le problème des équivalences soit des diplômes techniques soit ceux des médecins, en proposant qu'il devrait y avoir une relation entre les institutions québécoises et algériennes. Une autre personne a soulevé le problème du racisme: les immigrants sont considérés comme des voleurs de "jobs". Il y a eu pas mal de discussion.
A la fin, Mme Maroie, s'est mêlé aux participants pour de petites discusions. La rencontre a été terminée par des prises de photos et des promesses.