Vous aimez probablement ce sourire canadien scintillant et bien «lustré» lorsqu’il s’affiche en direction de l’Afrique du Nord «francophone». Dollar oblige ! Cela s’appelle le sourire du service à la clientèle, qui permet à ce pays de vous vendre sa quincaillerie, à coût de millions. La face cachée, c’est ce traitement indélicat, frôlant le sarcasme face aux demandeurs d’immigration : «On exige de Sofiane, profil algérien, un dossier kilométrique pour un visa refusé d’avance.» Florilège de la considération, les papiers de Sofiane ont droit à une virée «touristique» du côté de la DGSE et DCRI de Paris. Discriminations raciales, islamophobie et traitement à géométrie variable de dossiers d’immigration des candidats algériens. Révélations.

Cap sur le pays de l’érable. Ici, les liens algéro-canadiens ont de multiples facettes. Furibards devant les comportements mi-raciste mi-islamophobe de ce Jason Kenny, ministre de l’Immigration et de la Citoyenneté au Canada. Voilà qu’il ne cesse de crier au loup : un loup qui ne pourrait être que musulman. La recette est simple : embrigader ceux qui sont in situ et barricader la route du Canada par un artifice de loi pour ceux qui expriment le vœu d’y aller. Champion des nouveautés en matière des lois sur l’immigration, Jason fait actionner sa noria qui nous sert aujourd’hui, une délicieuse disposition xénophobe, celle d’exiger des ressortissants de 29 pays musulmans des données biométriques lors de la demande de visa visiteur ou visa étudiant.

Curieusement, le Maroc et certains pays du Golfe ne figurent pas sur la liste… tactique sur instruction israélienne. Le ministre canadien voulait dire que le passeport biométrique du pays où vit le demandeur ne suffit pas… et voilà je vous méprise. En vérité, Jason, ce disciple qui est aussi député de la province de l’Alberta, obéit à la doctrine de son chef, Stephan Harper, le Premier ministre conservateur. Un homme qui considère que musulmans et chrétiens n’ont pas le même Dieu… (Tant mieux, je ne veux pas avoir le même Dieu que lui). Grand défenseur d’Israël car il se trouve sous la double coupe de l’évangélisme politique et du Congres juif section Toronto. Harper avait jusque-là, pris les plus «audacieuses» positions en faveur de Tel-Aviv, positions que même les Etats-Unis n’osent pas proférées en public. En 2009, le Congres judéo-canadien a émis in-extremis et en catastrophe, des inquiétudes sur la démographie galopante des musulmans au Canada et pas des musulmans canadiens à qui il faut ôter la citoyenneté sans prendre en compte le danger que constitue une telle progression sur le devenir social comme sécuritaire du pays de l’érable Selon des estimations, le nombre de citoyens de confession musulmane oscille entre 600 000 à 1 million, ce qui représente presque 2% de la population canadienne.

La réaction du Congres juif est venue quelques jours après que Benjamin Netanyahou, fut empêché en juillet 2008 par un grand nombre d’étudiants «arabes terroristes» de faire une conférence à l’université Concordia de Montréal. A Dark Day For Concordia, claironnaient les intellectuels sionistes qui ne voulaient pas reconnaître qu’il existe une position anti-israélienne logique qu’on trouve dans la population estudiantine, même si l’université Concordia est devenue le berceau d’un islamisme moyen-oriental latent. Sitôt instruit, le gouvernement Harper lance un questionnaire-test qui ressemble aux fichiers de la Gestapo, test émis par l’Office des statistiques du Canada, une autre autorité fédérale qui impose à tous les foyers de le remplir sous peine de poursuites judiciaires. Dans ce document, Ottawa utilisa un mécanisme de question se rattachant à la langue maternelle et à l’onomastique pour compter les musulmans et connaître leur poids démographique pour situer leur position sociale et financière. Elle (Ottawa) instruit son sentinelle Jason Kenny d’élaborer une série de mesures pour briser cette inquiétante avancée du culte musulman, due entre autres, aux nouveaux arrivants. Le terrain est cédé au Congres juif lequel pourrait décider au nom des 33 millions de personnes de refuser l’entrée au Canada à quiconque. Pourquoi un tel privilège ? La réponse se trouve chez Monsieur Harper, l’homme qui clame haut et fort que «l’intérêt du Canada est avec Israël». Aujourd’hui, Kenny accumule les exploits même si les attaques à son encontre continuent comme elles continuent contre cette association fantoche qui lui sert de support. Il s’agit de Canadian Against Immigration Fraud.com (CAIF).

C’est un regroupement présidé par le controverse Sam Benet qui, pour des impératifs d’image, plaça des Sikhs dans le conseil de direction. Autre volet important se rapportant à son cahier de notation dévoile un ministre fédéral de l’Immigration, recevant de très bonnes notes de Tel-Aviv. L’université de Haïfa avait décidé de lui décerner le 4 novembre dernier, un doctorat honorifique pour son combat contre l’antisémitisme, le racisme et l’intolérance… Un monde à l’envers ! En quoi les positions islamophobes et xénophobes de l’idiot Kenny servent-elles la tolérance et l’antiracisme ? Est-il mieux que ces modestes Algériens du Canada et des Etats-Unis qui travaillent pour le rejet de la violence, pour le rejet de l’islamisme rétrograde dans sa politique comme dans son accoutrement et surtout pour le respect de la loi dans un pays de droit. Ceci veut dire une adhésion sans équivoque aux valeurs citoyennes de la laïcité de la liberté du culte et d’expression et surtout des droits des hommes et des femmes. Mais il paraît que quand on essaye de présenter ces définitions qui trouvent répondants auprès de l’ensemble des Canadiens de tout horizon, un ministre de l’immigration qui fait fonction de portier du Canada, nommé par Benyamin Netanyahou, devient un peu vorace et veut carrément «sioniser» (rendre sioniste) ou évangéliser les gens pour qu’ils soient conformes aux lois de la citoyenneté et de l’immigration du Canada.

Les musulmans et la «Window 10/40»

Même s’ils ressemblent à leurs rivaux les libéraux, les conservateurs canadiens majoritairement implantés à l’Ouest du pays, ont cette capacité «d’offenser» la gens de confession musulmane. Il faut bien comprendre que comparativement à une certaine droite américaine, le parti conservateur canadien est fondé sur une doctrine foncièrement antimusulmane. Tout d’abord, il se nourrit lui aussi d’un certain évangélisme politique qui consiste à contre-attaquer dans fenêtre 10/40 (Windows 10/40) ce rectangle regroupant la majorité des pays musulmans et situé entre 10 degrés de latitude Sud et 40 degrés de latitude Nord. C’est la région la plus courtisée par l’inexorable avancée des églises évangéliques, financées à coups de millions de dollars.

Aujourd’hui, plusieurs organisations évangéliques se montrent très explicites quant à leurs visées politico-religieuses et évoquent ouvertement la nécessité de christianiser la planète. Nous assistons, en somme, à une avancée intégriste de la part de la galaxie évangélico-protestante laquelle pratique, et il faut le mentionner, un prosélytisme agresseur exploitant généralement le désœuvrement des populations. Cette définition que nous reproduisons ici pour la deuxième fois parle d’un «jihad chrétien», imposé par la puissance des coffres-forts qui s’alimentent d’un cartel financier très fortement constitué par les compagnies du pétrole, de l’industrie pharmaceutique, du textile et autres. Aujourd’hui aussi, une cavalerie globale est mise sur pied et travaille dans plus de 50 pays, en s’inspirant principalement, d’une directive dans l’Evangile selon laquelle Saint Mathieu avait sommé les croyants de faire des disciples de toutes les nations. Le bilan que livre une institution comme le Gordon Conwell Theological Seminary, stationné à South Hamilton dans le Massachusetts (ref Internet : www.gordonconwell.edu) parle d’une christianisation de 900 millions de personnes entre 1970 et 2003, c’est-à-dire un passage de 1,2 milliard à 2,1 milliards de chrétiens dans le monde. La croissance est particulièrement, significative en Asie puis en Afrique où la cartographie présentée sur le site (www.win1040.com) ou (www.1040window.org) met en exergue ce projet de construction.

Ici, les groupes ethniques ou linguistiques qui endurent la persécution culturelle et politique, se présentent comme candidats de choix. Sur ce site : www.joshuaproject.net, on peut voir le profil de l’ Algérie où

l’évangélisation demeure au stade 0,61%, ce qui veut dire qu’elle n’a pas toujours les objectifs requis. La norme de 1,2% de la population adulte apte à la reconversion doit être atteinte pour pouvoir se rapprocher du sens de la minorité religieuse, minorité avec toutes les conséquences politiques qui en résultent. Pour les évangélistes conservateurs canadiens, on peut dire qu’ils puisent aussi leurs thèses dans la marmelade du pasteur John Hagee : www.jhm.org . Ce dernier affirme que tous les chrétiens doivent soutenir inconditionnellement l’Etat d’Israël. Et que c’est une discipline ordonnée par la Bible. Il déclare : «Notre objectif est de faire savoir à nos élus que si l’un d’entre eux s’attaquait à l’Etat d’Israël ; nous ferions tout ce qui est en notre pouvoir pour qu’il ne soit pas réélu.» A l’entendre, on a l’impression qu’Israël est un pays pacifique entouré de peuples musulmans barbares.

Un peu d’histoire

Donnée instructive pour ne pas se sentir à côté de la plaque de l’histoire, celle qui nous fait savoir que les Africains du Nord ont peut-être vu le Canada avant qu’il naisse. C’est vrai, on ne plaisante pas, même si les historiens affiliés aux différentes cours royales, ont voulu dévaloriser nos exploits dans les épithètes de la piraterie. Il reste important de souligner que furieuse contre le roi français Louis XIII, et profitant de la guerre opposant catholiques aux protestants (dite guerre des 30 ans), la régence d’Alger lança une expédition contre les possessions françaises dans le Nouveau monde (le Canada). Mourad Raïs qui avait auparavant lancé une attaque ravageuse contre l’Island a pu rallier à son voyage les corsaires marocains de Salé, anciennement Oued Bouregreg près de Rabat. En 1624, il fit couler une embarcation de pêcheurs au large de Saint-John’s (Terre Neuve). Les contrées lui paraissaient

inhospitalières et le chef des corsaires algéro-marocains préféra poursuivre sa pénétration jusqu’à Louisbourg (Province de la Nouvelle-Ecosse) où il ne trouva personne. A-t-il été attiré par un vide, on ne peut pas répondre. En tout cas, les Français appelaient jadis, ces endroits, l’Acadie des Acadiens. Précision : Acadiens veut dire les premiers massacreurs d’indigènes et spoliateurs des terres indiennes, venus pour la plupart, de la Rochelle et de la Haute Bretagne (Nantes) de France.

Actuellement, l’Acadie n’a aucune existence depuis 1755, car les Britanniques l’ont décidé ainsi… ils étaient plus intelligents et plus organisés. Le roi de l’Angleterre a pu prendre le Pays et chasser les Français des territoires de l’Est Canadien, ceci explique parfaitement la configuration quasi anglaise du Canada actuel. Or, la perte du Canada à l’exception de la province du Québec, qui demeura francophone, fut le début de ce qu’on appelle l’amertume française. L’histoire d’un côte et l’Angleterre de l’autre, firent progressivement balayer Paris du podium colonial. Les choses se compliquèrent et voilà la filière de Napoléon qui cède en 1803, et sous la pression des dettes, la précieuse Louisiane américaine, ne pas confondre avec l’Etat de la Louisiane actuelle, mais tout le centre des Etats-Unis avec une superficie équivaut à celle de l’Algérie. Aux Etats-Unis, on appelle cette transaction «Louisiana purchase», un achat de 15 millions

de dollars qui fit perdre à la France honneur et orgueil. En 1932, à l’occasion de son siècle de séjour en Algérie, cet indu-occupant voulait se ressaisir et tenta d’accorder ses violons en vue de reconstruire un nouvel empire puissant, le tout grâce à l’avantage que lui procure un territoire algérien juste en face, territoire dont il a pris le soin de bien façonner. L’Elysée rêve en voulant être l’unique maître d’œuvre de la Méditerranée quoi… un petit accident de circulation à Skikda, c’est Matignon qui libère la déclaration. Cela s’intitule en parisien, l’hégémonisme régional équivaut au Sub-Imperialism civilisé de Downing Street. En 1962 et avec l’indépendance de l’Algérie, ce fut le coup de dague mortel et le territoire français est réduit presque à sa première configuration des années 1820. Ni la position canadienne contre l’Algérie à l’ONU, ni les aides colossales du Canada à l’armée française pour lutter contre les terroristes du FLN, n’étaient d’un quelconque secours.

Sofiane, entre Bertrand Weisgerber et la DGSE

A part des cargaisons de pétrole brut pour combler son besoin énergétique, le Canada n’achète absolument rien et investit zéro en Algérie. Il vend son épicerie et prend les projets avec toutes les facilitations traditionnelles nées depuis Maqam Chahin (le Monument). Même s’il se targue d’avoir de bonnes relations avec Alger, Ottawa emprunte aussi une voie parfois inamicale lorsqu’il s’agit de l’accession de l’Algérie à l’OMC en plus de son imposition d’une taxation douanière rigide à quelques produits généralement commercialisés dans les épiceries maghrébines. Mais ce qui choque encore dans la façon de faire de ce pays, c’est ce transfert vers Paris des dossiers, transfert ne voulant pas connaître une fin et qui concerne les demandes de visa d’Algériens, comme si l’Algérie est encore colonisée. Mais pour arracher des projets dans le dessalement de l’eau de mer, l’Algérie devient subitement un pays indépendant. Indépendant voilà Sofiane, Algérien de confession musulmane, qui a deux frères habitant la banlieue sud de Montréal. Ces deux frères possèdent un petit immeuble de 6 logements et travaillent dans le transport pour leur propre compte. Ils ont invité Sofiane, 26 ans, célibataire mais vendeur de matériaux de construction dans l’Oranie, pour passer un mois au Canada. Pour accomplir ce processus dégoutant, ils firent parvenir à leur frère une invitation, une prise en charge et un engagement disant que notre frangin quittera le Canada une fois son séjour achevé.

Vous savez que culturellement pour un Algérien, lorsqu’il invite un membre de sa famille, c’est lui qui s’occupe de tout car nous gardons jusqu’à présent cette tradition de ne pas aller dormir à l’hôtel lorsqu’on vient voir la famille. En consultant le site de l’ambassade du Canada à Alger, Sofiane en plus d’un dossier kilométrique qu’il doit rassembler pour demander un visa, se voit offrir deux choix. Demander le visa par le biais de l’ambassade ou via une machine à sous qui s’appelle TLScontact, une boîte qui appartient à un détendeur de compresseurs de la rue Balzac à Paris et qui vend du vent en Algérie. Sofiane essaye la voie de l’ambassade mais en vain, il a compris alors qu’on le pousse vers la méthode un peu cavalière et expéditive. Il finit par déposer son dossier au niveau de cette firme française qui s’appelle TLScontact. Le Monsieur qui reçoit son dossier lui parle sur un air de douanier, en mentionnant des notes. La semaine passée, Sofiane, après avoir payé plus d’un million de centimes récupère son passeport avec une feuille qui arbore plus d’insolence que d’enchantement. Des oracles sibyllins comme par exemple ; vous n’avez pas démontré que vous allez quitter le Canada, des phrases qui datent de l’ère Victoria et sa diplomatie de l’arbitraire. Architecte de formation, Sofiane est resté stupéfait devant des assertions étranges. J’ai donné de l’argent à l’ambassade du Canada, j’ai le droit à une explication pleine, entière et logique qui répond à ma culture pas à celle de la France. Un de mes frères ne peut pas venir, je dois aller le voir c’est un citoyen canadien. Pourquoi les autres citoyens canadiens d’autres origines, reçoivent les membres de leurs familles facilement. Comment voulez-vous que je démontre, dit-il. Je dois faire de l’expression corporelle. Vous m’aviez demandé de faire un dossier, je l’ai fait. Mes frères étaient prêts à faire un dépôt pour prouver que je retourne en Algérie. Si vous doutez des documents algériens, supprimez les demandes de visa.

Si les célibataires ne peuvent pas bénéficier de visa, dites-le et remettez-moi mon argent. Si, c’est à cause de mon âge, dites-le à l’avance. Pourquoi Bon Dieu vous cultivez dans le confus pour voler les gens, pourquoi vous traitez les gens comme du bétail et je suis sûr que celui qui a vu mon dossier de demande n’a même pas pris la peine de le voir convenablement. Et Sofiane repart pour l’Oranie en voyant défiler devant lui d’autres demandeurs pour renflouer les caisses de TLScontact, une création des milieux spécialisés dans des solutions informatiques et des bases de données. Son patron s’appelle Bertrand Weisberger, membre influent de la communauté juive Ashkinaze de France et ce n’est pas cela qui nous intéresse dans ce cas. Ce qui nous intéresse dans le cas de cette boîte c’est le forcing opèré par Nicolas Sarkozy en octobre 2008 pour donner tout l’héritage de visas France (ministère des Affaires étrangères) à la compagnie de Weisberger qui faut-il le rappeler fut l’unique fondateur. Et ce n’est pas un secret de dire que TLScontact comme certaines de ses semblables demeurent le champ de prédilection des services de renseignement français à travers la DGSE ou la Police à travers DCRI. Ici, ce qui intrigue le plus c’est que la France avait commencé sa nouvelle expérimentation TLScontact en Algérie. On ne sait pas sous quelle forme le gouvernement algérien a autorisé cette boîte et quelles étaient les conditions, mais tout ce qu’on sait, c’est que les Français armés de cet exploit, ont pu faire embarquer d’autres pays dans cette formule.

Parmi ces pays, le Canada, qui a fini par rejoindre lui aussi la méthode imposée par Weisberger, qui investit convenablement l’argent au Maroc et en Tunisie, mais vend du vent à Alger. Ensuite, quelle est cette rigolade qu’on trouve sur Internet et qui parle de TLScontact, une compagnie régie par le droit algérien. Quel droit algérien lorsque le ministre de l’Immigration du Canada dit que les données biométriques des demandeurs de visa seront partagées dans le cadre du Protocole d’échange de renseignements entre les cinq nations CCN (USA-Angleterre-Nouvelle-Zélande-Australie et Canada). Dans ce cas, qui protège les renseignements personnels des Algériens. Quelles sont les garanties de destruction, quel contrôle peut exercer la police algérienne et la justice pour le processus de destructions des informations personnelles. Qui peut attaquer l’Australie pour une utilisation abusive d’une donnée biométrique d’un Algérien dont TLScontact est en train de se préparer pour mettre la main dessus. Pourquoi le Canada n’autorise pas TLScontact sur son sol. Pourquoi les Etats-Unis n’autoriseront pas TLScontact sur leur sol, pourquoi ? Car les Algériens sont un bétail qui n’a pas une loi sévère concernant les informations personnelles. Tel est le volet qu’on aura à ouvrir concernant cette entité de la rue Balzac, Paris qui va nous ramener probablement à l’université Haïfa de Jason Kenny.

Source: Algerie-News - 27 decembre 2012