Après un beau samedi ensoleillé, pourquoi ne pas finir la journée avec une soirée chaleureuse en compagnie d'Esma Djermoune venue spécialement d'Algerie pour un spectacle de nostalgie.
Une organisation parfaite attendait les spectateurs, soit au niveau de la billetterie, soit à l'accueil. La salle de spectacle Hellénique s'y prêtait à merveille, à part le son qui ne couvrait pas bien tout cette espace. A mon avis, il faut revoir la position des baffles.
Un début de spectacle abvec Cheb Azziz, emplein de musique orientale et nord africaine. Quelques timides spectateurs se sont réchauffés avec quelques pas de danse. Entre deux danses, femmes et jeunes filles se présentaient à une table en retrait pour se faire tatouer avec du henné, avec une mosaique ancienne. Malika, qu'on commence à voir dans plusieurs activités s'y prête à merveille.
Avec un istikhbar algérois, Esma Djermoune fit son entrée sur scène, les femmes l'accueillèrent avec des you-yous bien de chez nous. Première chanson, premier lien avec l'assistance qui a pris en coeur avec elle le tube de 2011 "3lik bel hana wadhamane". Il s'en est suivi plusieur tubes de son dernier album "Menhobi Li Blek".
Les spectateurs se sont donnés à coeur joie, Esma, passait de l'est à l'ouest par son répertoire musicale.
Brahim Seddik a repris la suite de la soirée avec de la musique Kabyle et rai.
En fin de spectacle, après la fameuse chanson "Ebkaou ala kheir", Esma Djermoune s'est prété à la séance de photos et de dédicaces.
Comme à l'accoutumée, les spectateurs algériens ne se présentent qu'au dernier moment pour le début de spectacle.
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