Ils étaient très nombreux, à travers tout le Québec et même au-delà, à témoigner un appui dès la parution du livre, Sa vie contre-Oran.  Oran, une ville qui témoigne son refus et son vomi à une personne algérophobe, Wahranophobe et démocratophobe.  Oran, une ville debout, voilée d’un haïk Mramma de couleur or  pour avilir la couardise et la détermination face à la rage d’un combat contre une femme ménopausée précocement dégageant des chaleurs néfastes et catastrophiques à la couche d’ozone et au réchauffement de la planète.

 

Ce branle-bas de combat, si on peut l'appeler ainsi, est vide de sens.  Vous vivez la précarité de la fourmi ailée.  Cette dernière a eu une fin tragique et tomba dans le feu de la controverse.  Vous le dites bien d'ailleurs.  Vous êtes une fourmi à qui l'Algérie a donné de la force, à qui la France  a attribué la liberté  et à qui  le Québec a confectionné des ailes.  Malheureusement, ce sont de faibles ailes pitoyables.   Vous manquez d’expérience. Attention, tout ce qui brille n'est pas or! La flamme jaunâtre vous attire et vous risquez de tomber, par malheur et malchance, dans le gouffre.

Vous êtes une vraie louve au sens figuré.  Et comme dans les coutumes de la communauté des loups, la grappe du raisin devient acide quand on ne peut pas la cueillir ou l’arracher.  Par manque de moyens de mériter la chair, vous vous êtes forcés à vous refugiez au sein de l’essaim du végétarisme. Vous êtes un hérisson qui, malheureusement, est dépourvu d’élégance.   Votre intérieur pique atrocement le touchant.  Il est l’iceberg de votre apparent.

Je salue votre manque d’inspiration.  Vos actions réchauffées goûtent le  brûlé.  Vous me faites rappeler un mets commun du mois sacré.  Tagine Lahlou! Ça vous dit quelque-chose?  Les pruneaux?  El-barqouq à l’oranaise!  Ce délice qu’on prépare avec soin pour fêter le premier jour.  Mais, à la fin du repas, par manque de place ou d’espace, on ne peut ni le goûter ni même  le sentir.  On le réchauffe le lendemain, le jour d’après et ainsi de suite jusqu’à la  nuit du doute (veille de l’Aïd).  Par la suite, il se retrouve dans la poubelle.  Même les chiens refusent de le manger.

Le jeu politique

La laïcité est devenue par la force des bras, la nouvelle religion de certaines personnes qui, autrefois, se déclaraient  antireligieuses  ou athées.  C’était dans le temps de l’idéologie marxiste, fasciste, communiste et  totalitaire.   Ceux-là même qui assassinent  une personne et suivent ses obsèques funèbres.  Les adeptes cachent bien leur allégeance au gourou et maître de la célèbre phrase «  la religion est l’opium des peuples ». Êtes-vous encore communiste, ou avez-vous changé votre fusil d’épaule depuis que le Québec vous a donné des ailes?

Puis-je demander une clarification?  Qui a gouverné l’Algérie depuis 1962.  Qui sont-ils?  Dans quelles écoles sont-ils allés?  Qui a exercé la loi du silence, la censure, l’oppression, l’assassinat, l’emprisonnement, etc.?  Le PAGS, le parti d’avant-garde socialiste, ça vous dit quelque chose?

On a tendance à oublier facilement l’histoire qui ne nous arrange pas.  Que faisait, en Algérie, le courant communiste russo-baathiste contre-Coran?   Qui a formé les assassins de Alloula, Bengana, Mouhoubi, Merbah et  Boudiaf?  Ce jour-là, les islamistes naïfs ont compris qu’ils seront des boucs-émissaires de la sale guerre des communistes.  Ce n’est pas par hasard  que les adeptes du FIS ont été chassés, bannis et torturés dans le grand désert. L’affaire Bentalha, pourriez-vous nous en parler?

Le silence des communistes n’est pas un simple  mutisme.  Il est un élément parmi tant d’autres de toute une stratégie monopolisatrice du monde incompatible avec un système démocratique.  L’attachement au communisme voire l’entêtement à le promouvoir traduit une haine de la démocratie, de l’ouverture et de la tolérance du monde arabo-musulman.  On n’a pas cessé d’enfoncer, avec agressivité, le clou de l’antipathie depuis la nuit des temps.

Arrêtez de jouer à la victime.  Votre algérianité n’est qu’un accident de circonstance, probablement dû à un excès de Vodka dans une boîte de nuit à Saint-Pétersbourg.   Vous n’avez de l’arabe que le nom qui vous sert de prétexte et de joker pour exprimer votre  haine.  Malgré votre caravanophobie, vous êtes dans la mire et visée par la surveillance.

Vous n’arrivez même pas à la cheville de Djamila Bouhired, de nos mères, de nos  sœurs, de nos voisines et de nos compatriotes maghrébines qui se battent  contre des brebis, comme vous, qui s’offrent  dans les fèves en tant que truies mais c’est un faux lard.

Comparées à vous, les femmes algériennes sont des vraies de vraies. Ce sont des purs-sangs à la bonté propre.  Nous saluons le courage de toutes nos consœurs et de celles qui portent le voile.  Ces dernières affichent l’élément de tout un système de valeurs qui incarne un choix démocratique.  Comparée à elles, vous n’êtes qu’une pauvre poule de batterie mouillée et picorée par le dernier des coqs.

Pour le commun des mortels, l’installation au Québec ou ailleurs au Canada de ces algériennes, maghrébines  ou musulmanes a été déterminée par un processus de sélection.  Elles ne sont pas tombées du ciel et n’ont pas, sollicité un statut d’exilé.  Elles sont médecins, ingénieures, architectes et professeures.  Elles ont fui le joug du communisme régnant sur la destinée du pays natal.

Lorsque ces femmes ont quitté la junte communiste, elles connaissaient beaucoup de choses du Québec.  Ce qui est sûr c’est qu’elles savaient que la terreur communiste n’avait aucune place au Québec.  Elles n’ont jamais pensé  qu’un jour les résidus du produit marxiste-léniniste allaient faire surface et empester le sain environnement de la belle province.   Elles  n’ont jamais pensé devoir recommencer une lutte contre des personnes impuissantes qui n’ont pas d’idées, pas d’arguments et, surtout, pas de conviction.

Elles ne pensaient jamais rouvrir le stérile débat et devoir convaincre le peuple accueillant et l’avertir de se méfier de ces faux laïcs qui non seulement ne croient en rien mais, de surcroît, ne valorisent pas l’être humain.

Vous poussez la belle province à gratter son postérieur quand l’hexagone souffre du mal de tête.  En d’autres mots, vous nous poussez, nous les québécois, les vrais bleus fleurdelisés  à ressentir d'atroces douleurs d’hémorroïdes lorsque la France pond  un œuf.

Vous n’avez pas à vanter la beauté du laurier-rose, le Québec connait parfaitement son goût amer.  La Molson Ex a bien meilleur goût que l’Abou-nawas et je ne vous parle même pas de celui du pinot noir, très cher  aux communistes avares.  Son odeur fine aux accents de poivre noir fraîchement moulu et sa saveur de noyau de cerise et de pin me  font oublier les Couteaux (Coteaux) de Mascara et la cuvée du président dictateur.

Houari Weldmaraval - Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.