Caricature de Renart LéveilléDe par sa nature, un horloger n’est jamais satisfait de l’heure de sa montre  ni  de celles des autres.  Il est souvent anxieux par l’harmonisation du tictac arrangée à la raideur de l’attaque au lieu de la tactique.

Ils étaient très nombreux, à travers tout le Québec et même au-delà, à témoigner un appui dès la parution du livre, Sa vie contre-Oran.  Oran, une ville qui témoigne son refus et son vomi à une personne algérophobe, Wahranophobe et démocratophobe.  Oran, une ville debout, voilée d’un haïk Mramma de couleur or  pour avilir la couardise et la détermination face à la rage d’un combat contre une femme ménopausée précocement dégageant des chaleurs néfastes et catastrophiques à la couche d’ozone et au réchauffement de la planète.

D’entrée de jeu et pour préciser un point crucial, je dois vous avouer qu’un étrange sentiment de manque d’inspiration habite mon intérieur, et ce, depuis que le onze national a donné le plus beau cadeau à la nation algérienne, a réconcilié la fraternité entre le peuple et par le fait même a prolongé la durée de vie du mandat présidentiel pour Ad vitam aeternam.

Je commencerai par l’authentique.  J’étais dans la joie festive.  J’étais entre mes chers(es), mes proches et entre celles et ceux que j’adore.  Soudainement, une triste nouvelle est tombée comme une bombe.  Je ne l’attendais pas.  Ahmed B, fouillait dans son plus profond pour trouver un qualificatif à ce grand homme qui vient de s’éteindre.  Avec brio, Ahmed M, sort l’appositif de l’authenticité.  Tout le monde s’est mis en accord, même le sage homme à barbe blanche.  Ce dernier a entériné le mot, et il est même allé à ajouter que l’homme était absolument un franc vrai pas un hypocrite.