Miss Normandie, Malika Ménard, a été sacrée Miss France 2010 par les téléspectateurs de TF1, samedi soir, à l'issue d'une cérémonie retransmise en direct depuis le palais Nikaïa à Nice (Alpes-Maritimes).

Suite à la déclaration unilatérale des organisations culturelles égyptiennes de couper toute relation culturelle avec l’Algérie, un député du RND a envoyé un courrier officiel aux hautes autorités du pays et au directeur général de la Télévision nationale afin de cesser immédiatement toute diffusion de films, de séries et de documentaires égyptiens. Tayeb Mokadem, puisque c’est de lui qu’il s’agit, exhorte nos officiels à bannir le produit culturel de l’Égypte sur tous nos écrans. Ce parlementaire, qui affirme par ailleurs que cette action ne sera que bénéfique au Trésor public qui gaspille autant d’argent dans des produits archaïques, estime qu’il est temps de consacrer cet argent à nos producteurs, animateurs et réalisateurs


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Les organisations de la famille révolutionnaire, promptes à tirer sur tout ce qui bouge et à ruer dans les brancards à chaque fois que l’on évoque un épisode de la guerre de Libération, ont-t-elles avalé leur langue ? Incroyable mais vrai. Alors que le drapeau algérien est brûlé en direct par des avocats égyptiens sur les chaînes de télévision cairotes, que nos valeureux martyrs sont devenus aujourd’hui, de l’avis de nos “frères” égyptiens, des terroristes et des criminels, que la dignité de l’Algérie toute entière est foulée aux pieds, c’est motus et bouche cousue chez ces organisations pour lesquelles les agressions continues des officiels et des médias égyptiens contre notre pays ne semblent pas déranger. Beaucoup d’ailleurs se demandent pourquoi ce silence, pendant que les symboles de l’Algérie et de l’État algérien sont souillés par des hordes hystériques. Où sont passés tous ces députés qui n’hésitaient pas à traiter en pleine Assemblée nationale le fils du colonel Amirouche d’anti-Algérien pour avoir osé débattre de questions en rapport direct avec la guerre de Libération ?

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La tentation d’émigrer est présente dans toutes les couches de la société. Jeunes et vieux, hommes et femmes, cadres ou ouvriers, riches ou pauvres, employés ou chômeurs, tous se portent candidats. Le Canada est la destination de choix pour la plupart. Le phénomène prend de l’ampleur. Il a aujourd’hui un caractère massif.

Il n’y a rien de plus difficile pour tout Algérien, par les temps qui courent, que d’être fier, tant ce sentiment est bringuebalé par le flot quotidien de mauvaises nouvelles charriées par les médias de tout acabit : nous sommes moins performants que nos voisins alors que nous disposons de plus d’atouts qu’eux, nous fabriquons des harragas alors que notre sous-sol regorge de combustibles fossiles, les rues de nos quartiers sont de réels sentiers de brousse alors que le goudron est un sous-produit du pétrole, l’eau déserte nos robinets alors que la pluie céleste dévaste des territoires entiers, nos anciens immeubles s’écroulent un à un (sur leurs occupants) alors que les tours de bétons phagocytent toutes les terres agricoles qui ceinturent nos villes…

Abdelkader Belaouni est libre. Jeudi dernier, le ressortissant algérien a reçu d'Ottawa la permission de rester au pays. Reclus depuis trois ans et neuf mois dans l'église Saint-Gabriel, à Montréal, il est sorti pour l'une des premières fois ce matin.

Hafsa Rizki a débarqué à Montréal en 2006 avec son mari et ses deux enfants, sans parent ni ami pour l’aider à s’orienter dans la métropole. Pen­dant les cinq mois qui ont suivi son arrivée, elle s’est enfermée chez elle.

L’attaque terroriste de Tizi Ouzou qui a ciblé jeudi une société chargée de sécuriser un chantier de SNC Lavalin et qui a causé la mort de six personnes, est le plus grave attentat à survenir en Algérie depuis la fin du mois de juillet.