Le pillage organisé de la maison Algérie
Il y a 15 ans, alors que j’étais sur le chemin de l’exil, comme des milliers d’autres Algériens, une de mes amies m’avait écrit une lettre pour me dire au revoir et me souhaiter bonne chance.
Il y a 15 ans, alors que j’étais sur le chemin de l’exil, comme des milliers d’autres Algériens, une de mes amies m’avait écrit une lettre pour me dire au revoir et me souhaiter bonne chance.
Le 27 janvier dernier, au Café Safir situé dans le Petit Maghreb, le commandant du poste de quartier 30, Fady Dagher, et Anie Samson, maire de l’arrondissement, ont réuni une dizaine de membres de la communauté maghrébine de Montréal afin de souligner leur implication lors des événements spéciaux qui ont lieu sur l’artère commerciale de la rue Jean-Talon, à Saint-Michel.
La bombe à retardement qui mine les relations Algéro-égyptiennes après les tumultueux matchs explosifs entre les sélections des deux pays, commence vraisemblablement à avoir raison des « relations bilatérales excellentes et exceptionnelles entre les deux pays frères ». L’Algérie qui a eu à subir les affres d’une « Egypte folle et furieuse » d’être éliminer de la qualification pour la coupe du monde 2010 par une excellente équipe d’Algérie a réagit fortement cette fois ci à l’encontre du Caire en stoppant l’approvisionnement en gaz vers ce pays.
«Marre de ces émigrés qui débarquent chaque été dans les grandes villes du pays pour nous agacer avec leurs airs de supériorité, leur façon de nous montrer qu’ils vivent tellement mieux. Marre de les voir dépenser sans compter et afficher leur condescendance.»
Rapatrier les compétences algériennes établies à l’étranger est un nouveau challenge lancé par les pouvoirs publics.
L’idée d’un projet pour un train à grande vitesse (TGV) reliant Biskra à Hassi Messaoud fait son chemin au niveau du ministère de tutelle.
Les Montréalais d’origine amazighe ont été agréablement surpris par un inattendu « Asseggas Amegaz » du maire de leur ville, une première dans l’histoire de la métropole. A l’occasion de la célébration de Yennayer de l’année 2960 du calendrier berbère, une pleine page du quotidien gratuit 24 Heures a été consacrée à sa célébration. Khelifa Hareb, membre du Mouvement amazigh du Québec (MAQ) et initiateur de cette démarche en parle.
2010 sera-t-elle une nouvelle chance pour le changement démocratique ?
Quel mal a frappé l’opposition démocratique algérienne pour rester en l’état près de 60 ans d’indépendance ? Autrement dit, pourquoi a-t-elle toujours été foulée aux pieds par les différents gouvernements et boudée par les populations au point qu’elle est devenue un élément négligeable dans les annales de la politique algérienne ? Une sorte de coquille vide qu’on exhibe pour anesthésier l’opinion et permettre la pérennité du pouvoir qu’elle est censée contrôler, voire sanctionner. Qui du peuple ou des leaders de cette opposition sont imputables de ses échecs successifs ? Qui du peuple ou des leaders peuvent être blâmés pour immaturité politique ? On a vite envie de disculper le peuple, sachant que de nombreux pays doivent leur émancipation à un leader politique avec une vision claire et un engagement communicatif.
Très courtisé par les journalistes à chaque fois qu’ils le rencontrent, le ministre de l’Intérieur s’est volontiers prêté avec eux au jeu des questions-réponses.
La bataille du sponsoring sportif se poursuit entre Nedjma et Djezzy. La Jeunesse sportive de Kabylie (JSK) et Nedjma ont conclu, mardi 2 février, un accord de sponsoring, a annoncé l’opérateur de téléphonie mobile. Le club kabyle était sponsorisé par Djezzy, opérateur mobile concurrent de Nedjma.
Le général-major déchire le «voile» entretenu jusque-là, par les autorités égyptiennes autour du martyre des soldats algériens sur le sol de Oum Eddounia.
OTTAWA - L'avocat de Mohamed Harkat, soupçonné de terrorisme par les autorités canadiennes, croit que le Service canadien du renseignement de sécurité (SCRS) doutait de la fiabilité d'un informateur à son sujet.
Outrée par les scandales de corruption au plus haut sommet de l'Etat, l'opinion publique, telle qu'elle s'exprime dans la presse et dans les commentaires privés, est remontée contre les partis politiques perçus comme des organisations inutiles pour le pays, ou plutôt utiles seulement pour ceux qui les utilisent pour avoir des positions lucratives d'élus.
Les Français et les Américains se sont basés sur des données communes pour établir leur liste.
«Un sot ne dit pas de choses intelligentes, mais un homme intelligent dit beaucoup de bêtises.»
Garabet Ibraileanu, Extrait d’En Regardant la vie