“A nruh” (Partir). Il a salué ses fans venus nombreux à son spectacle. “Vous n'avez pas oublié ‘taqbaylit’ (la culture), bien que vous soyez partis depuis des années du pays natal.

Musique : Hamidou et Nouara font salle comble à Montréal
Les Algériens de Montréal ont eu droit, samedi dernier, à deux concerts pluôt qu’un la même soirée. Le chanteur de Hawzi Hamidou et la diva kabyle Nouara avaient chacun rendez-vous avec son public.

Souper-hommage à Nouara
La diva de la chanson kabyle Nouara a reçu un hommage d’Algériens de Montréal ce mercredi lors d’un dîner à l’hôtel Gouverneur de la métropole canadienne.
Tamazight : Une pétition pour introduire Berbère Télévision dans le câble canadien
Un groupe de techniciens berbérophones de l’opérateur de télécommunications et de télévision Bell vient de lancer une pétition pour demander l’introduction de BRTV dans le câble canadien.

L’amoureuse de l’acewwig. Nouara, la diva de la chanson kabyle
Nouara, la diva de la chanson kabyle. C'est Matoub Lounès qui l'a nommée ainsi. Matoub a réalisé avec Nouara l'un de ses meilleurs albums "Hymne à Boudiaf", le président algérien assassiné en 1992. La diva de la chanson algérienne d’expression kabyle rendra hommage au maestro de la chanson berbère Chérif Kheddam ce 26 mai au théâtre Outremont de Montréal dans le cadre du Festival Culturel nord-africain. Personnellement, je la voyais comme une sainte dans les années 70. Elle a marqué ma jeunesse », dira Achour Mellaz, l’un de ses fans inconditionnels.
Rezki Grim: L’âme tourmentée de l’artiste exilé
Rezki Grim vient de lancer son troisième album qu’il a intitulé Tid id-a&-yadran "Notre sort". Dans une atmosphère artistique presque médiocre et horriblement folklorisée, son œuvre tombe au point nommé pour donner espoir aux amoureux de la chanson algérienne d’expression kabyle.
Doublage cinéma : Les Schtroumpfs « kabyles » en avant-première au Canada
La coopération entre le Québec et la Kabylie dans le domaine du doublage cinéma sera le thème d’une conférence que donneront ce vendredi soir au centre Afrika de Montréal, Samir Ait Belkacem de Studio Double Voice (SDV) basé en Kabylie et Claudine Chatel du Conservatoire d'Art Dramatique de Montréal.
Identité : l’exil, chanté par Labess
Après la parution en 2007 de Tout va bien, son premier album, la formation Labess - mot qui, justement, signifie « tout va bien » en arabe - a passé du temps sur la route et promené ses chansons festives au Québec, dans l’Ouest canadien et au Mexique, ainsi qu’en France, au Maroc, en Tunisie, en Palestine, en Bosnie et en Jordanie.
Un chanteur engagé Tunisien en visite à Montréal: Bendir Man pose un regard sur le « printemps érable »
Alors que la métropole est en pleine ébullition en raison des différents mouvements de protestation, Bendir Man, un artiste tunisien engagé qui a vécu les manifestations de contestation dans son pays, jette un oeil critique sur les mouvements sociaux à Montréal.
Son spectacle a mobilisé la communauté algérienne. Quand Takfarinas enflamme la scène montréalaise
La Coordination canadienne pour tamazight a décerné un cadeau symbolique à Takfarinas pour tout ce qu'il a fait pour la chanson amazighe moderne. Très ému, Tak a dit qu'il s'agit là de l'un de ses meilleurs cadeaux. Un burnous lui a été aussi offert.
Montréal : le public choisit Takfarinas
Les fans de Takfarinas viennent de prouver encore une fois leur amour et leur attachement au chanteur kabyle. Des jeunes, des moins jeunes, des enfants, en famille ou seuls. Ils étaient près de 4 000 samedi soir au Centre Marie Vicrtorin de Montréal.
Association El Ankaouia de Montréal: Au bonheur de la communauté Maghrébine
Par la présente, nous souhaitons annoncer à la communauté maghrébine, en général, et algérienne, en particulier, la création d'une association à vocation musicale à Montréal. Son premier centre d’intérêt : le chaâbi (ou « musique populaire »), que certains aiment appeler le blues algérois. Son nom, elle le tient du maitre incontesté de la chanson chaâbi algérienne, El Hadj M'hamed El Anka. Ce Cardinal de la musique populaire, qui illumina jadis la vieille citadelle d'Alger, est resté présent à jamais dans la mémoire collective algérienne et son art est transmis de génération en génération.