Harragas. Personne ne peut dire quand exactement ce terme a fait son apparition. Dans les médias, on refuse obstinément de lui adjoindre un « s », comme si on ne voulait pas se rendre à l’évidence que ce mot issu du parler algérien se décline uniquement au pluriel. Pourtant, un harrag n’est jamais seul!

Les Suisses ne savent plus à quel saint se vouer. Les problèmes leur sont tombés sur la tête d’un seul coup. Comme si la crise financière ne suffisait pas. En grande partie, à cause du leader libyen Mouammar Kadhafi.

À la veille du mois de ramadhan, mes pensées vont vers deux familles palestiniennes. Dans leur cas, on peut dire que, plus que le sort, ce sont des hommes qui se sont acharnés sur elles. Il est ahurissant de voir comment des vies peuvent être sacrifiées dans le silence le plus complaisant.

Le bal des fraudeursBernard Madoff, Vincent Lacroix, Earl Jones, Normand Bouchard, Simon Saint-Hilaire, Michel Gariépy, Stevens Demers, Garth Drabinsky, Myron Gottlieb. Des noms qui ont fait pousser bien des cheveux gris. Tout ce qu’il y a de sombre dans l’impitoyable capitalisme nord-américain.

La machine s’est finalement mise en branle. Elle est à 100% de production algérienne. Son nom est plus qu’évocateur : le Mouvement national des générations libres. On se demande où se cachaient jusqu’ici ces générations libres dans un pays où les libertés ont été sacrifiées au « tout sécuritaire » et aux dénis de toutes sortes…